Au cœur de Tenochtitlan, la grande ville de la haut, le grand clergyman Xolotl se tenait censées l’autel du temple solaire. Ses yeux scrutaient le sablier gothique posé sur un socle de pierre, marqué par la clarté vacillante des torches. Ce sablier n’était pas une forme représentative ordinaire. Depuis des générations, il ne laissait s’écouler son sable dorée qu’en science-fiction d’un soirée coeur. Les archives des prêtres le mentionnaient en tant qu' un messager de la destinee, un oracle silencieux avec lequel les grains scellaient son futur des individus. Mais cette nuit-là, tandis que rien ne semblait jeter l’ordre du domaine, Xolotl observa avec épouvante que le sable avait commencé à tomber. Chaque grain qui glissait entre les parois de cristal résonnait en lui tels que une mise en maintienne, un mémoire qu’il ne pouvait ignorer. Seule une meilleure voyance par téléphone devrait lui autoriser d’interpréter immédiatement le signal ignoré arrière ce phénomène. Les prédictions de l'ancien temps racontaient que quand le sable du sablier gothique s’écoulait sans sujet apparente, un développement implacable approchait. Xolotl savait que cela pouvait laisser une diversité d’événements : une guerre imminente, la indignité d’un land, ou même l’apparition d’un être mystique en mesure de retoucher la suite de l'avenir. Il ne pouvait pas se fier uniquement à son odorat. Il devait faire appel à les Étoiles, observer les étoiles, demander les augures. La meilleure voyance par téléphone qu’il connaissait était celle des anciens sages qui interprétaient les souhaits et les caractères de l’univers. Mais en ce instant, il était simple physionomie au sablier et son signal restait insondable. Le très large clergyman s’agenouilla, posant une main tremblante sur la pierre froide. Devait-il prévenir l’empereur ? Devait-il scruter les cieux et attendre que le destin dévoile de lui-même son dessein ? Alors que le sable continuait de tomber, il prit une règle. Il interrogerait les compétences du cosmos par le moyen des habitudes les plus immémoriaux. Il devait savoir si ce prédiction était une bénédiction… ou un rappel. Seule une transcription nette des signes semble pouvoir lui révéler ce que les dieux s’apprêtaient à inscrire dans l’histoire.

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